Archives de février, 2010

Redirection avec bit-ly

dimanche, février 14th, 2010

J’ai parlé l’autre jour de redirection en passant par une page HTML avec du javascript à l’intérieur… Et bien… J’ai trouvé une autre solution. En fait, en utilisant Twitter, je me suis aperçu qu’il existait un moyen simple de créer une redirection sans passer par mon pauvre petit site web qui tombe en panne lorsque la ma box « préférée » trouve le moyen d’avoir son chargeur électrique qui ne lui convient plus… (Pour ceux que ça intéresse, elle devient violette et y a plus rien à attendre d’elle). J’ai donc découvert « bit ly »… Un « raccourcisseur » d’url… Ben ouais… Twitter avec ses 140 caractères… pour faire des liens http, ça fait un peu juste… Donc « Bit ly » est the solution… Pour l’instant c’est gratuit sauf quand on veut des services « évolués » mais ça agit comme une redirection url : pratique nan ?

Y a juste à se créer un compte (encore…) et aller profiter de l’option…

Soit dit en passant, je reviendrai sur l’histoire des comptes… car OpenId, SAML et autres avatars méritent bien un jour qu’on leur consacre un article… (Non pas que je doute qu’il n’y en ait pas déjà…. mais compréhensible pour un cerveau moyennement pourvu comme le mien…. Ca ne court pas les rues… ou alors je ne sais pas fouiller sur le net…- et là, je joue mon joker…^^-

Bon… je reviendrai sur le sujet quand j’aurais de nouveau un accès internet fonctionnel !

Redirection en Javascript

dimanche, février 7th, 2010

Bon, c’est pas si compliqué que ça mais… En fait c’est surtout que certaines plate-formes de blogs n’autorisent pas la redirection sauf, moyennant quelque menue monnaie sonnante et trébuchante… Je me suis retrouvé confronté à ce problème et n’étant pas d’humeur à payer quoique ce soit et… compte-tenu que finalement, ce qui m’intéressait principalement, c’était de rerouter le nom du site et pas l’ensemble des pages…. J’ai décidé de faire un truc simple…

Tout d’abord, je me trouve une plateforme qui autorise les javascripts… Assez facile, j’en ai une à la maison. Donc je crée ma petite page html avec le code suivant :

<script type= »text/javascript »>
<!–
window.location = « http://
trucmuche.com »
//–>
</script>

Et puis après c’est « archi-simple », je vais sur l’interface de mon fournisseur DNS Dynamique préféré et j’enregistre mon nom d’hôte comme une redirection Web que je fais pointer sur l’url de ma page « pivot » : nanana.monsitesousunautrenom.com -> redirection web sur http://monsite.pivot.com/mapagehtmlpivot.html.

Techniquement c’est pas super tiptop mais l’essentiel est là… On peut accéder à mon site « trucmuche.com » avec l’alias « aliasdemontrucmuche.com »

Le truc… c’est que maintenant… On peut taper ce qu’on veut derrière par exemple « http://aliasdemontrucmuche.com/pagebidon.htm« , on est rerouté sur la page d’accueil de « trucmuche.com »… C’est pas vraiment ce que je voulais au début… Mais je tenterai « URL rewriting » plus tard…. Je pense que ce doit être faisable mais j’ai pas encore tout saisi comment fonctionne lighthttpd dans cette partie là… Donc, on va éviter de se prendre la tête deux fois dans la journée…

NSLU2 sous Debian (atchoum)

dimanche, février 7th, 2010

Le NSLU2 est un petit boîtier assez sympathique à l’origine conçu pour permettre de mettre en réseau son ou ses disques externes USB. Il peut paraître un peu daté maintenant avec tout ce qu’il existe sur le marché comme boîtier NAS ou autre périphérique qui fait tout sauf le café, mais je dois dire que je n’ai pas trouvé mieux depuis… Rapport qualité/prix et possibilités pour l’adapter aux besoins.
C’est peut-être vrai que je suis un peu compliqué dans ma petite « usine » interne mais voilà, naviguant de Linux à Windows, ayant pas de mal de films en version « fichiers » car « m’amuser » à empiler des boites de DVD ou VHS dans une bibliothèque et empiler aussi les lecteurs  magnéto-DVD-BlueRay-MP3/4 (et je ne sais plus quoi…), j’ai pris le partie d’essayer de ne pas m’encombrer et d’avoir un seul petit appareil qui me fasse un peu tout, quitte à ce que ça rame un petit peu de temps en temps et que je passe quelques heures à essayer de faire fonctionner le biniou…

A l’heure actuelle et même s’il rame quelques fois pour remplir toutes les tâches que je lui assigne, installé sous Debian, la meilleur distrib Linux que je connaisse avec sa dérivée Ubuntu (plus pratique, on va dire), il me sert quand même de :

Deux liens indispensables pour découvrir l’objet et quelques infos très pratiques quand on cherche à faire la personnalisation de l’appareil :

http://www.nslu2-linux.org/
http://www.cyrius.com/debian/nslu2/

(Bon d’accord, faut aimer l’anglais…)

Des services et des hommes…

dimanche, février 7th, 2010

Notre « ami » Google propose un tas de « produits » ou de « services » (je ne sais jamais s’il faut parle de ça ainsi) plutôt pratiques et généralement assez accessibles pour l’intelligence moyenne… Bien que parfois, on cherche un peu à comprendre comment ça marche et surtout, ce qui est caché « derrière ». Google n’étant pas philanthrope ou du moins cette « motivation » étant perdue et/ou mélangée à d’autres contraintes/envies/objectifs… Il convient de garder un certain recul avec cette myriade de propositions plutôt « alléchantes » et il faut bien dire rapides à mettre en œuvre. Le plus compliqué, c’est d’arriver à entendre exactement les conditions d’utilisation et les éventuels points « durs » qui pourraient devenir litigieux si le service proposé et l’usage que l’on envisage se retrouvent l’un en face de l’autre ou plus exactement, si les deux éléments vont dans des sens contradictoires. Certes, c’est généralement le cas pour bon nombre de « contractualisation » avec un tiers mais c’est vrai que la facilité du « J’approuve » est parfois contre-productive pour les deux parties.

Personnellement, j’use de nombreux aspects de « l’offre Google » mais j’essaie de le faire avec discernement en fonction de ce que je tente de réaliser. Je veux bien profiter du service et je veux bien que Mossieu Google profite de « moi » en tant que… « client », « afficionado », etc… Mais tout ceci dans une bonne entente…

Pour l’instant, je touche du bois… Je n’ai jamais eu à me plaindre…

Hyper Wii

dimanche, février 7th, 2010

Hyper-V pour les intimes… Depuis le temps qu’on attendait quelque chose de vraiment valable en terme de virtualisation chez Microsoft, je crois qu’on a enfin avec la R2, un produit qui tient bien la route. Je ne dis pas cela pour être méchant car c’est vraiment mon sentiment. Ayant travaillé avec les « ancêtres » du produit, je crois qu’il y a un gouffre entre l’avant et l’après… Je me rappelle un peu du casse-tête pour arriver à une solution « stable » et plus ou moins « pérenne » avec Virtual Server 2005 R2… C’était faisable… Je ne dis pas le contraire mais simple… Non… Je dois le reconnaître.

Je n’ai pas encore eu le temps de le pratiquer dans la « réalité » entreprise mais le potentiel est là. C’est une solution parmi d’autres dans la virtualisation et là, elle est enfin applicable en production (elle l’était déjà avant la R2) et proposable en alternative de poids à des produits concurrents.

Mais aucune illusion à avoir… Ce ne sera pas le saint-graal non plus, comme ses acolytes et ses prédécesseurs…

WMI : what else ?

dimanche, février 7th, 2010

Une référence sur WMI applicable à Citrix et plus exactement à tout ce qui touche à Xenapp ou feu Metaframe Presentation Server, c’est un peu le parcours du combattant. Comme tout ce qui touche à WMI d’ailleurs. Je crois que ce doit être structurel à WMI. On peut tout faire avec ce « bidule » mais pour autant qu’on y passe quelques temps à trouver la bonne syntaxe et aussi comprendre la réalité de l’interface proposée et pas forcément celle qui est documentée (lorsqu’elle l’est et de ce côté, on est plutôt tranquille car elle ne l’est pratiquement jamais (ou peut-être dans un cercle restreint d’amateurs ou de spéléologues acharnés de classes…)).

Et pourtant, une fois que l’on commence à trouver quelques bribes d’éléments, c’est un peu « Allélouia »… On en vient même parfois à être un peu désabusé lorsqu’on se rend contre que vis à vis d’une problématique que l’on a rencontrée, on a monté quasi une usine à gaz pour faire la même chose… On ne va pas s’auto-flageller d’avoir monté l’usine car avec une vraie documentation, on aurait sûrement choisi la solution la plus simple (du moins, personnellement c’est ce que j’aurais fait car je suis fainéant à la base et surtout je n’aime pas me prendre la tête pour accoucher d’un pet de mouche)… Enfin voilà…

On ne va pas refaire l’histoire mais si on pouvait capitaliser un jour sur des choses qui marchent et qu’il serait bien de ne pas « bouger » juste histoire de dire qu’on innove : ça serait un petit pas pour l’informaticien de base et un grand pas pour le service qu’il est sensé rendre à son utilisateur…